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Edward I

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Edward était le fils aîné du roi Henri III et D’Éléonore de Provence. En 1254, Il reçoit le duché de Gascogne, L’Oléron français, Les îles Anglo-Normandes, L’Irlande, les terres D’Henri au Pays De Galles et le comté de Chester, ainsi que plusieurs châteaux. Henri négocie le mariage D’Édouard avec Eleanor, demi-sœur d’Alphonse X de Léon et de Castille. Édouard épouse Eleanor à Las Huelgas en Espagne (octobre 1254) puis se rend à Bordeaux pour organiser son apanage dispersé., Il avait maintenant sa propre maison et ses fonctionnaires, la Chancellerie et le sceau, avec un échiquier (trésor) au Château de Bristol; bien qu’il gouverne nominalement toutes ses terres, il jouissait simplement des revenus de la Gascogne et de l’Irlande. Il retourna en Angleterre en novembre 1255 et attaqua Llywelyn ap Gruffudd, prince de Gwynedd, à qui ses sujets gallois avaient demandé du soutien Lorsqu’Édouard tenta d’introduire des unités administratives anglaises dans ses terres galloises. Édouard, ne recevant aucune aide D’Henri ou des seigneurs marcheurs, fut vaincu ignominieusement., Son anarchie arrogante et son association étroite avec ses oncles poitevins avides, qui avaient accompagné sa mère de France, augmentèrent L’impopularité D’Édouard parmi les Anglais. Mais après l’expulsion des Poitevins, Édouard tombe sous L’influence de Simon De Montfort, son oncle par alliance, avec qui il fait un pacte formel. Montfort était le chef d’une clique baronniale qui tentait de freiner le mauvais gouvernement D’Henri.

Edward accepta à contrecœur les dispositions D’Oxford (1258), qui donnaient un gouvernement effectif aux barons aux dépens du roi., D’autre part, il intervint de façon spectaculaire pour soutenir les dispositions radicales de Westminster (octobre 1259), qui ordonnaient aux barons d’accepter les réformes exigées par leurs locataires. Au début de la crise dangereuse de 1260, il soutint Montfort et les extrémistes, mais finalement il déserta Montfort et fut pardonné par Henri (Mai 1260). Il est envoyé en Gascogne en octobre 1260 mais revient au début de 1263. La guerre civile avait alors éclaté entre Henri et les barons, soutenus par Londres. Le comportement violent d’Édouard et sa querelle avec les Londoniens nuisent à la cause D’Henry., À la bataille de Lewes (14 mai 1264), sa poursuite vengeresse des Londoniens au début de la bataille contribua à la défaite D’Henri. Edward se rendit et devint un otage entre les mains de Montfort. Il s’échappa à Hereford en mai 1265 et prit la tête des forces royalistes, plaça Montfort derrière la rivière Severn et, par stratégie éclair, détruisit une grande armée de relève à Kenilworth (1er août). Le 4 août, il piégea et tua Montfort à Evesham et sauva Henry., Brisé et affaibli, Henry permet à Edward de contrôler efficacement le gouvernement, et la Politique extrême de vengeance de ce dernier, en particulier contre les Londoniens, ravive et prolonge la résistance rebelle. Finalement, le légat pontifical Ottobuono, L’oncle D’Edward Richard, Comte de Cornouailles, et d’autres modérés persuadèrent Henry de la Politique plus douce du Dictum de Kenilworth (31 octobre 1266), et après un certain retard, les rebelles se rendirent. Édouard prit la Croix (1268), avec l’intention de rejoindre le roi de France Louis IX en croisade en Terre sainte, mais fut retardé par manque d’argent jusqu’en août 1270., Louis est mort avant L’arrivée D’Édouard; et Édouard, après avoir hiverné en Sicile, est allé à Acre, où il est resté de Mai 1271 à septembre 1272, gagnant la renommée par son énergie et son courage et échappant de justesse à la mort par assassinat, mais n’obtenant aucun résultat utile. Sur le chemin du retour, il apprit en Sicile la mort d’Henri III le 16 novembre 1272.

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