La plupart des péchés capitaux sont définis par Dante Alighieri comme des versions perverties ou corrompues de l’amour: la luxure, la gourmandise et la cupidité sont tous un amour excessif ou désordonné des bonnes choses; la colère, l’envie et l’orgueil sont un amour perverti dirigé vers le mal des autres. La seule exception est la paresse, qui est une carence d’amour. Dans les Sept Péchés capitaux sont sept voies de la mort éternelle. Les péchés capitaux de la convoitise à l’envie sont généralement associés à l’orgueil, considéré comme le père de tous les péchés.,

la Luxure

La Luxure, ou luxure (Latin: luxuria (charnel)), est un désir intense. Il est généralement considéré comme un désir sexuel intense ou débridé, qui peut conduire à la fornication (y compris l’adultère), au viol, à la bestialité et à d’autres actes sexuels pécheurs. Cependant, la luxure pourrait également signifier d’autres formes de désir débridé, comme l’argent ou le pouvoir., Henry Edward Manning dit que l’impureté de la luxure transforme un en « un esclave du diable ».

Dante a défini la luxure comme l’amour désordonné pour les individus. Il est généralement considéré comme le péché capital le moins grave car il s’agit d’un abus d’une faculté que les humains partagent avec les animaux, et les péchés de la chair sont moins graves que les péchés spirituels.

dans le Purgatorio de Dante, le pénitent marche dans les flammes pour se purger des pensées et des sentiments lubriques., Dans L’enfer de Dante, les âmes impardonnables coupables de luxure sont éternellement soufflées dans des vents agités ressemblant à des ouragans symboliques de leur propre manque de maîtrise de soi de leurs passions lubriques dans la vie terrestre.

la gourmandise

La Gourmandise (Latin: gula) est la surindulgence et la surconsommation de quoi que ce soit point de gaspillage. Le mot dérive du latin gluttire, avaler ou avaler.,

une des raisons de sa condamnation est que le gavage par les prospères peut laisser les nécessiteux affamés.

Les dirigeants de l’église médiévale (par exemple, Thomas D’Aquin) ont adopté une vision plus large de la gourmandise, arguant qu’elle pouvait également inclure une anticipation obsessionnelle des repas, et une indulgence excessive dans les délices et les aliments coûteux.,

Thomas D’Aquin a énuméré cinq formes de gourmandise:

• Laute – manger trop cher
• Studiose – manger trop délicat
• Nimis – manger trop
• Praepropere – manger trop tôt
• Ardenter – manger trop ardemment

parmi celles-ci, ardenter est souvent considéré comme le plus sérieux, car il s’agit d’une passion pour un simple plaisir terrestre, qui peut amener le commetteur à manger impulsivement, ou même à réduire les objectifs de la vie à de simples repas et à boire. Ceci est illustré par Ésaü vendant son droit d’aînesse pour un gâchis de potage, une  » personne profane . . ., qui, pour un morceau de viande a vendu son droit d’aînesse », et plus tard »n’a pas trouvé de place pour le repentir, bien qu’il l’ait cherché soigneusement, avec des larmes ».

la Cupidité

La cupidité (en Latin: avaritia), également connue sous le nom d’avarice, cupidité ou convoitise, est, comme la luxure et la gourmandise, un péché de désir. Cependant, la cupidité (telle que vue par l’Église) est appliquée à un désir artificiel et rapace et à la recherche de biens matériels., Thomas D’Aquin a écrit: « la cupidité est un péché contre Dieu, comme tous les péchés mortels, dans la mesure où l’homme condamne les choses éternelles pour le bien des choses temporelles. »Dans le Purgatoire de Dante, les pénitents sont liés et couchés face contre terre pour s’être trop concentrés sur les pensées terrestres. La thésaurisation de matériaux ou d’objets, le vol et le vol, en particulier par la violence, la ruse ou la manipulation de l’autorité sont autant d’actions qui peuvent être inspirées par la cupidité., De tels méfaits peuvent inclure la simonie, où l’on tente d’acheter ou de vendre des sacrements, y compris les ordres saints et, par conséquent, des positions d’autorité dans la hiérarchie de l’Église.

selon les mots de Henry Edward, l’avarice « plonge un homme au plus profond de la boue de ce monde, afin qu’il en fasse son Dieu ».

telle que définie en dehors des écrits chrétiens, la cupidité est un désir démesuré d’acquérir ou de posséder plus d’un besoin, en particulier en ce qui concerne la richesse matérielle. Comme la fierté, cela peut conduire non seulement à certains, mais à tout le mal.,

paresse

paresse (Latin: tristitia or acedia (« sans soin »)) fait référence à un fouillis particulier de notions, datant de l’Antiquité et comprenant des états mentaux, spirituels, pathologiques et physiques. Il peut être défini comme l’absence d’intérêt ou leur répugnance à l’effort.

dans sa Summa Theologica, Saint Thomas d’Aquin définit la paresse comme « la tristesse du bien spirituel ».,

la portée de la paresse est large. Spirituellement, l’acédie a d’abord fait référence à une affliction touchant les personnes religieuses, en particulier les moines, dans laquelle elles devenaient indifférentes à leurs devoirs et obligations envers Dieu. Mentalement, acedia a un certain nombre de composants distinctifs dont le plus important est l’impuissance, l’absence de tout sentiment sur soi ou sur l’autre, un État d’esprit qui donne lieu à l’ennui, à la rancœur, à l’apathie et à une mentation passive inerte ou lente., Physiquement, l’acédie est fondamentalement associée à une cessation du mouvement et à une indifférence au travail; elle trouve son expression dans la paresse, l’oisiveté et l’indolence.

La Paresse implique de cesser d’utiliser les sept dons de grâce donnés par le Saint-Esprit (sagesse, compréhension, Conseil, connaissance, piété, courage et crainte du Seigneur); un tel mépris peut conduire à ralentir le progrès spirituel vers la vie éternelle, à négliger les multiples devoirs de charité envers le prochain et à l’animosité envers ceux qui aiment Dieu.,

la Paresse a également été défini comme un échec à faire des choses que l’on devrait faire. Par cette définition, le mal existe lorsque les » bonnes  » personnes n’agissent pas.

Edmund Burke (1729-1797) a écrit dans Present Discontents (II. 78) « aucun homme, qui n’est pas enflammé par la vaine gloire dans l’enthousiasme, ne peut se flatter que ses efforts uniques, non soutenus, désulturés et non systématiques sont en mesure de vaincre les desseins subtils et les cabales Unies de citoyens ambitieux. Quand les mauvais hommes se combinent, les bons doivent s’associer; sinon ils tomberont, un par un, un sacrifice non initié dans une lutte méprisable., »

Contrairement aux autres péchés capitaux, qui sont des péchés de commettre l’immoralité, la paresse est un péché d’omission responsabilités. Cela peut provenir de l’un des autres vices de la capitale; par exemple, un fils peut omettre son devoir envers son père par la colère. Alors que l’état et l’habitude de la paresse sont un péché mortel, l’habitude de l’âme tendant vers le dernier état mortel de paresse n’est pas mortelle en soi, sauf dans certaines circonstances.

Émotionnellement et cognitivement, le mal de l’acedia qui trouve son expression dans l’absence de tout sentiment pour le monde, pour les gens, ou pour soi-même., Acedia prend forme comme une aliénation du soi sensible d’abord du monde et ensuite de lui-même. Bien que les versions les plus profondes de cette condition se trouvent dans un retrait de toutes les formes de participation ou de soins pour les autres ou soi-même, un élément moindre mais plus bruyant a également été noté par les théologiens. De tristitia, affirmait Grégoire le Grand, « surgissent la méchanceté, la rancœur, la lâcheté, le désespoir »., Chaucer, aussi, a traité de cet attribut de l’acédie, en comptant les caractéristiques du péché pour inclure le désespoir, la somnolence, l’oisiveté, le retard, la négligence, l’indolence et la wrawnesse, le dernier diversement traduit par « colère » ou mieux par « peevishness ». Pour Chaucer, le péché de l’homme consiste à languir et à se retenir, à refuser d’entreprendre des œuvres de bonté parce que, lui dit-il, les circonstances entourant l’établissement du bien sont trop graves et trop difficiles à souffrir. L’acédie, selon Chaucer, est donc l’ennemi de toute source et de tout motif de travail.,

non seulement la paresse subvertit les moyens de subsistance du corps, ne prenant aucun soin de ses provisions quotidiennes, mais ralentit également l’esprit, arrêtant son attention sur des questions de grande importance. La paresse empêche l’homme dans ses entreprises justes et devient ainsi une terrible source de perte humaine.

dans son Purgatorio Dante dépeint la pénitence pour acedia comme fonctionnant continuellement à la vitesse maximale., Dante décrit l’acédie comme « l’échec à aimer Dieu de tout son cœur, de tout son esprit et de toute son âme »; pour lui, c’était le « péché du milieu », le seul caractérisé par une absence ou une insuffisance d’amour.

Colère

la Colère (Latin: ira) peut être définie comme incontrôlée des sentiments de colère, de rage, et même de haine. La colère se révèle souvent dans le désir de se venger., Dans sa forme la plus pure, la colère présente des blessures, de la violence et de la haine qui peuvent provoquer des querelles qui peuvent durer des siècles. La colère peut persister longtemps après que la personne qui a fait un autre mal grave est mort. Les sentiments de colère peuvent se manifester de différentes manières, y compris l’impatience, la misanthropie haineuse, la vengeance et le comportement autodestructeur, tel que l’abus de drogues ou le suicide.,

selon le Catéchisme de l’Église catholique, l’acte neutre de colère devient le péché de colère lorsqu’il est dirigé contre une personne innocente, lorsqu’il est indûment fort ou durable, ou lorsqu’il désire une punition excessive. « Si la colère atteint le point d’un désir délibéré de tuer ou de blesser gravement un voisin, elle est gravement contre la charité; c’est un péché mortel. »(CCC 2302) La Haine est le péché de désirer que quelqu’un d’autre puisse souffrir de malheur ou de mal, et est un péché mortel quand on désire un mal grave., (CCC 2302-03)

Les gens se sentent en colère quand ils sentent qu’ils ou quelqu’un qu’ils aiment a été offensé, quand ils sont certains de la nature et la cause de l’événement de colère, quand ils sont certains que quelqu’un d’autre est responsable, et quand ils sentent qu’ils peuvent encore influencer la situation ou

dans son introduction au Purgatoire, Dorothy L. Sayers décrit wrath comme « l’amour de la justice perverti en vengeance et en dépit ».

selon Henry Edward, les gens en colère sont « esclaves d’eux-mêmes ».,

Envy

L’envie (Latin: invidia), comme la cupidité et la luxure, est caractérisée par un désir insatiable. Cela peut être décrit comme une convoitise triste ou rancunière envers les traits ou les possessions de quelqu’un d’autre. Il naît de la vaine gloire, et sépare un homme de son voisin.

l’envie malveillante est similaire à la jalousie en ce sens qu’ils ressentent tous deux du mécontentement envers les traits, le statut, les capacités ou les récompenses de quelqu’un., Une différence est que les envieux désirent également l’entité et la convoitent. L’envie peut être directement liée aux Dix Commandements, en particulier: « tu ne convoiteras pas non plus … tout ce qui appartient à votre voisin »—une déclaration qui peut également être liée à la cupidité. Dante a défini l’envie comme « un désir de priver les autres hommes des leurs ». Dans le Purgatoire de Dante, la punition pour les envieux est d’avoir les yeux cousus avec du fil parce qu’ils ont acquis un plaisir pécheur en voyant les autres abaissés. Selon Saint, Thomas D’Aquin, la lutte suscitée par l’envie a trois étapes: au cours de la première étape, l’envieux tente d’abaisser la réputation d’un autre; au stade intermédiaire, l’envieux reçoit soit « la joie du malheur d’un autre » (s’il réussit à diffamer l’autre) ou « le chagrin de la prospérité d’un autre » (s’il échoue);

L’envie est censée être la motivation derrière Caïn assassiner son frère, Abel, comme Caïn envié Abel parce que Dieu a favorisé le sacrifice D’Abel sur Caïn.,

Bertrand Russell a déclaré que l’envie était l’une des causes les plus puissantes du malheur, apportant du chagrin aux adeptes de l’envie tout en leur donnant l’envie d’infliger de la douleur aux autres.

conformément aux vues Les plus largement acceptées, seule l’orgueil pèse sur l’âme plus que l’envie parmi les péchés capitaux. Tout comme l’orgueil, l’envie a été associée directement au diable, car Sagesse 2:24 déclare: « l’envie du diable a apporté la mort au monde ».,

l’Orgueil

fierté (Latin: superbia) est considéré, sur presque toutes les listes, l’original et le plus grave des Sept Péchés Capitaux. Sur les sept, il est le plus angélique ou démoniaque. Il est également considéré comme la source des autres péchés capitaux., Aussi connu sous le nom d’hubris (du Grec ancienββρις), ou futilité, il est identifié comme un égoïsme dangereusement corrompu, la mise de ses propres désirs, pulsions, désirs et caprices avant le bien-être des autres.,

dans des cas encore plus destructeurs, il est irrationnel de croire que l’on est essentiellement et nécessairement meilleur, supérieur ou plus important que les autres, de ne pas reconnaître les réalisations des autres, et l’admiration excessive de l’image personnelle ou de soi (en particulier oublier son propre manque de divinité, et refuser de reconnaître ses propres limites,

ce que la tête faible avec les règles de partialité les plus fortes, C’est l’orgueil, le vice sans faille des imbéciles.

— Alexander Pope, un essai sur la critique, ligne 203.,

comme l’orgueil a été qualifié de père de tous les péchés, il a été considéré comme le trait le plus important du diable. C.S. Lewis écrit, dans Mere Christianity, que l’orgueil est l’état « anti-Dieu », la position dans laquelle l’ego et le soi sont directement opposés à Dieu: « la non-chasteté, la colère, la cupidité, l’ivresse, et tout cela, sont de simples fleabites en comparaison: c’est par L’orgueil que le diable est devenu le diable: L’orgueil mène à tous les autres vice: c’est l’état d’esprit complet anti-Dieu., »L’orgueil est entendu pour séparer L’esprit de Dieu, ainsi que sa présence qui donne la vie et la grâce.

on peut être fier pour différentes raisons. L’auteur Ichabod Spencer déclare que  » la fierté spirituelle est la pire sorte de fierté, sinon le pire piège du diable. Le cœur est particulièrement trompeur sur cette seule chose., »Jonathan Edwards a dit » Rappelez-vous que l’orgueil est la pire vipère qui est dans le cœur, le plus grand dérangeur de la paix de l’âme et de la douce communion avec le Christ; c’était le premier péché qui ait jamais été, et se trouve le plus bas dans le fondement de tout L’édifice de Satan, et est le plus difficile à enraciner, et est le plus caché, secret et trompeur de toutes les convoitises, et se glisse souvent, insensiblement, au milieu de la religion et parfois sous le déguisement de l’humilité., »

dans L’Athènes antique, l’hubris était considéré comme l’un des plus grands crimes et était utilisé pour désigner un mépris insolent qui peut amener à utiliser la violence pour faire honte à la victime. Ce sentiment d’orgueil pourrait également caractériser le viol. Aristote a défini l’hubris comme faisant honte à la victime, non pas à cause de tout ce qui est arrivé au commetteur ou pourrait arriver au commetteur, mais simplement pour sa propre satisfaction. La connotation du mot a changé quelque peu au fil du temps, avec un accent supplémentaire vers une surestimation grossière de ses capacités.,

Le terme a été utilisé pour analyser et donner un sens aux actions des chefs de gouvernement contemporains par Ian Kershaw (1998), Peter Beinart (2010) et d’une manière beaucoup plus physiologique par David Owen (2012). Dans ce contexte, le terme a été utilisé pour décrire comment certains dirigeants, lorsqu’ils sont placés à des positions de pouvoir immense, semblent devenir irrationnellement confiants en leurs propres capacités, de plus en plus réticents à écouter les conseils des autres et de plus en plus impulsifs dans leurs actions.,

La définition de l’orgueil de Dante était « l’amour de soi perverti à la haine et au mépris du prochain ».

l’Orgueil est généralement associée à une absence d’humilité.

selon le libellé de L’auteur du Sirach, le cœur d’un homme fier est « comme une perdrix dans sa cage agissant comme un leurre; comme un espion il surveille vos faiblesses. Il change les bonnes choses en mal, il pose ses Pièges. Tout comme une étincelle met le feu aux charbons, le méchant prépare ses pièges afin de puiser du sang. Méfiez-vous de l’homme méchant car il planifie le mal. Il pourrait te déshonorer pour toujours., »Dans un autre chapitre, il dit que » l’homme acquis ne se contente pas de ce qu’il a, l’injustice méchante ratatine le cœur. »

Benjamin Franklin a dit  » en réalité, il n’y a peut-être pas une de nos passions naturelles aussi difficile à maîtriser que la fierté. Déguisez-le, luttez-le, étouffez-le, mortifiez-le autant qu’il vous plaira, il est toujours vivant et se montrera de temps en temps; vous le verrez peut-être souvent dans cette histoire. Car même si je pouvais concevoir que je l’avais complètement surmonté, je devrais probablement être fier de mon humilité., »Joseph Addison déclare qu ‘ » il n’y a pas de passion qui vole dans le cœur plus imperceptiblement et se couvre Sous plus de déguisements que d’orgueil. »

le proverbe « pride goeth (va) avant la destruction, un esprit hautain avant une chute » (du livre biblique des Proverbes, 16:18)(ou pride goeth avant la chute) est pensé pour résumer l’utilisation moderne de l’orgueil. La fierté est également appelée « fierté qui aveugle », car elle amène souvent un commetteur de fierté à agir de manière stupide qui dément le bon sens., En d’autres termes, la définition moderne peut être considérée comme, « cette fierté qui va juste avant la chute. »Dans sa biographie en deux volumes d’Adolf Hitler, L’historien Ian Kershaw utilise à la fois « hubris » et « nemesis » comme titres. Le premier volume, Hubris, décrit les débuts de Hitler et son accession au pouvoir politique. Le second, Nemesis, donne des détails sur le rôle D’Hitler dans la Seconde Guerre mondiale, et se termine par sa chute et son suicide en 1945.

Une grande partie du 10e et une partie du 11e chapitre du Livre de Sirach discute et conseille sur l’orgueil, l’orgueil et qui est rationnellement digne d’honneur., Il va:

Ne stockez pas de ressentiment contre votre voisin, quelle que soit son infraction; ne faites rien dans un accès de colère. L’orgueil est odieux pour Dieu et pour l’homme; l’injustice est odieuse pour eux deux…. Ne blâmez personne à moins que vous n’ayez d’abord été pleinement informé, examinez d’abord le cas et faites ensuite votre reproche. Ne répondez pas avant d’avoir écouté; ne vous mêlez pas des disputes des pécheurs. Mon enfant, ne pas entreprendre trop d’activités., Si vous continuez à les ajouter, vous ne serez pas sans reproche; si vous courez après eux, vous ne réussirez pas et ne serez jamais libre, bien que vous essayiez de vous échapper.

— Sirach,10:6-31 et 11:1-10

dans la pièce de miracle médiévale de Jacob Bidermann, Cenodoxus, L’orgueil est le plus meurtrier de tous les péchés et mène directement à la damnation du célèbre docteur parisien titulaire. Dans la Divine Comédie de Dante, les pénitents sont chargés de dalles de pierre sur le cou pour garder la tête baissée.